Pour toute ces raisons il semble essentiel de rapprocher la production du consommateur. Amener l’agriculture en ville, au pied des immeubles, dans les delaissés, sur les toits c’est moins de consommation d’énergie, moins d’intermédiaires, moins de pertes dans les transports, plus de fraîcheur et plus de saveur.
En plus de regrouper de nombreux consommateurs, la ville produit des déchets organiques en pagaille : invendus des marchés et déchets de cuisine par exemple. Aujourd’hui incinérés, ils pourraient être compostés et venir enrichir le sol de nombreuses micro-fermes urbaines.
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